IWPR

Les cinq cents jours de Zoran Djindjic

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Des allégations de corruption et de mauvaise gouvernance ont mis dans l’ombre les véritables pas en avant de l’administration de l’après Milosevic.

Par Biljana Stepanovic, journaliste à l’hebdomadaire belgradois NIN Alors que beaucoup de critiques peuvent être adressées au gouvernement du Premier ministre Zoran Djindjic, celui-ci est véritablement en rupture avec le passé et représente une avancée démocratique, aussi pour la liberté du marché. Sur les ruines laissées par l’ancien président Slobodan Milosevic, dans ses cinq cent premiers jours, le nouveau gouvernement a installé les fondements d’une réforme économique, valable aussi pour l’éventuelle accession du pays à l’Union européenne. Ces résultats honorables sont souvent restés ignorés à cause de la querelle incessante (…)

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